Comment choisir un nom de domaine ?

Comment choisir un nom de domaine ?

Comment choisir un nom de domaine pour créer un site web ?

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Outre la réflexion autour d’un projet web, choisir un nom de domaine pour l’enregistrement d’un nom de domaine est l’étape la plus importante pour votre identité sur Internet. Il conviendra d’abord de se renseigner sur le Droit des marques et des noms de domaine. Vous pouvez avoir déjà votre nom d’entreprise dans le monde réel, si le domaine associé au nom de l’entreprise est déjà enregistré, c’est pas de bol. Mais fréquent. Première étape rencontrée au moment de choisir un hébergement web, vérifier l’existence ou nom de ton nom de domaine. En août 2017, selon Netcraft, il existait 1,800,566,882 de sites enregistrés chez les différents registrars ! Difficile, dans ces conditions, de promouvoir son entreprise sur le web si vous ne pouvez pas utiliser un domaine avec votre nom d’entreprise. Trouver un bon nom de domaine aujourd’hui n’est pas aussi facile qu’en 1995 mais rien n’est impossible, loin de là !

Quelle extension de nom de domaine choisir?

Chaque année, on voit arriver de nouvelles extensions de domaine. Après les classiques .com, .net, .org, ou voit arriver les .bzh etc…

Nom de domaine: faire un bon choix.

(coucou à mes amis bretons), les .paris, les .school ou autres. On compte aujourd’hui des milliers d’extensions de nom de domaines que l’on peut choisir pour notre site web. Connaissez-vous le .blog, .art, .shop ou .beer (oui oui !!!) Voir la page et les tarifs d’extension de nom de domaine chez OVH.  Difficile de savoir si ces extensions de nom de domaines trouveront une place sur le web mais le visage même du commerce des noms de domaine risque fort d’être bousculé ces prochaines années !

Mais malgré la profusion de ces nouvelles extensions de domaine, le .com reste le roi sur le web: une valeur sûre ! Et même si vous voulez donner une dimension géographique à votre activité en optant par exemple pour le .bzh et le .fr, il est toujours très prudent de réserver également le .com au moment de choisir un nom de domaine. Imaginez que vous vouliez  créer un site sur le tourisme en Bretagne, vous pourrez opter pour “tourisme.bzh”. Vous serez également prudent d’acheter “tourisme.fr et tourisme.com”. (Ne vous fatiguez pas, c’est déjà pris… 😉 )

Facteurs à considérer pour choisir un nom de domaine

Référencement (SEO) et Situation géographique

Il est important de conserver à l’esprit qu’il y a une corrélation entre extension de nom de domaine, lieu d’hébergement de site et positionnement géographique de l’internaute. Par exemple, si vous recherchez “dépannage plombier” et que vous habitez à Rennes, les résultats de recherche, dans l’idéal, vous proposeront des sites de plombier de la région de Rennes. Ce serait dommage de se retrouver avec un plombier de Montréal ! En toute logique, les algorithmes des moteurs de recherche vont vous proposer en priorité des sites en .bzh plutôt qu’en .com… sauf ceux qui ont payé pour être placé dans les premiers résultats de recherche. Mais là est une autre histoire… 😉

Pour obtenir un .fr, il faut également une adresse postale en France et se soumettre aux conditions de l’AFNIC (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération)

Votre nom de domaine est un des éléments les plus importants pour votre identité web. Vous pouvez choisir de vous identifier avec le nom de votre entreprise, votre nom personnel, ou bien-sûr des mots-clés.

Exemple: si vous vous appelez Yann Le Bihan et que vous êtes plombier à Rennes, vous pourrez choisir “plombierrennes.bzh” ou yannplombier.fr

Autre paramètre à prendre en ligne de compte pour choisir un nom de domaine, la propriété intellectuelle. Un petit tour sur le site de l’INPI (Institut national de la propriété industrielle) pourra permettre d’éviter bien des ennuis ! Je me souviens, dans les années 1996 (ça ne me rajeunit pas !!!) avoir créé un annuaire web qui s’appelait TheBottin. J’ai simplement créé mon site sur l’adresse thebottin.com . Et un jour, j’ai reçu une lettre recommandée avec une mise en demeure parce que le mot “bottin” est une marque ! Pour moi, c’était un simple nom commun mais aux yeux de l’entreprise “Bottin” qui était (quand même) le créateur historique de l’annuaire en France, cela pouvait porter à confusion. On m’a donc demandé gentiment de déplacer mon site sur une autre adresse mais j’ai fini simplement (et sans discuter) par fermer le site, évitant ainsi quelques emmerdes… Un simple petit tour par l’INPI m’aurait évité ce genre de désagrément !

Conseils pour choisir un nom de domaine

L’extension de domaine

 Le .com (commercial) est la référence des noms de domaine. À tous les futurs propriétaires de site internet, je ne pourrais que conseiller de publier un site internet à un nom de domaine adéquat, à condition également qu’ils détiennent le .com de ce nom de domaine.

Donc, quand vous choisirez un nom de domaine, même si le .bzh ou .bar (si si!) est plus approprié pour vous, je vous conseille quand-même d’acheter le .com. Une organisation à but non lucratif comme une association par exemple, devra opter pour le .org, mais devra également réserver le .com s’il est disponible. Pourquoi faut-il acheter le .com? Parce que si vous laissez le .com disponible, une autre personne ou entreprise peut l’enregistrer à votre place et pourquoi pas porter atteindre à votre réputation… ou plus simplement perturber vos visiteurs qui, en allant sur le .com, seront certain qu’il s’agit de votre site.

Pour résumer, au moment de choisir un nom de domaine, je vous propose en priorité d’acquérir le .com s’il est disponible. Ensuite, libre à vous d’acheter autant d’extensions si vous le voulez. Mais de toutes façons, une seule extension accueillera le site. Vous devrez donc effectuer une redirection vers l’extension de votre choix. (Redirection = une adresse redirigée vers une autre, un peu comme article-invite.com est redirigé vers articleinvite.com.)

Longueur du nom de domaine.

Un nom de domaine peut contenir jusqu’à 67 caractères je crois. Il peut seulement contenir des lettres, des chiffres et des traits d’union. Il ne peut pas comprendre des caractères spéciaux comme des ? ou des %. L’idéal est d’avoir le plus petit nom de domaine possible, et un nom facile à retenir de surcroît ! Mais à ma connaissance, tous les domaines à 3 lettres sont déjà enregistrés: certains petits malins en ont même fait un business, parfois très lucratif !

Nom de domaine et traits-d’union (tiret)

L’utilisation du trait d’union ou d’un tiret dans un nom de domaine fut longtemps conseillé pour dissocier les mots-clé. Le web a évolué, les algorithmes des moteurs de recherche également et un moteur comme Google peut lire les mots-clés contenus dans un nom de domaine sans trait d’union. Il n’est donc pas nécessaire d’enregistrer, comme je l’ai fait il y a longtemps, afrique-annonces.com mais plutôt afriqueannonces.com.

Mots-clés dans un nom de domaine

Vous pouvez tout à fait utiliser des mots-clés dans un domaine. C’est excellent pour le référencement: Google regarde les mots-clé contenus dans les URL pour aboutir à une recherche. Le nom de domaine yannplombier.bzh sera préférable à yannlebihan.bzh si l’internaute recherche un plombier.

Une fois que vous avez votre nom de domaine et votre hébergement, vous pouvez commencer à envoyer vos données via votre logiciel FTP pour commencer à créer votre site web. Après cela, il sera toujours temps de publier un article invité afin de promouvoir votre site sur le web ou mieux encore, rédiger un communiqué de presse.

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Christophe GREGOIRE webmaster indépendant

Autoportrait

En quelques mots: autodidacte, webmaster, rédacteur web. Trousse-à-outils de Denel Writing.

 

 Je m’appelle Christophe GRÉGOIRE, webmaster indépendant. co-fondateur de Denel Writing, Cotonou.

Lorsque j’ai proposé à mes deux “associés” de nous présenter sur le site de Denel Writing, j’avais oublié que cette présentation allait me concerner aussi. Tombé dans mon propre jeu, je vais donc tenter de me lancer…

Je me présente donc: Christophe GRÉGOIRE. Mais je préfère “Cristof”. Ne me demandez pas pourquoi, c’est ainsi. Disons que je n’aime pas faire comme tout le monde.

Français, né en 1968 au Mans (72), c’est à Challes, à 20 km de là, que j’ai vécu mes plus tendres années: celles de l’enfance. Je vis aujourd’hui, près de Châteaubriant, entre Nantes et Rennes.

L’Écriture

Dans ce dont je me souviens, j’ai commencé à écrire des petits poèmes, pour mon amoureuse. Je devais avoir neuf ou dix ans. Mais ces poèmes n’allaient pas jusqu’à la destinataire: bien trop timide pour ça ! L’ordinateur n’existait pas encore au sein des familles, et ce sont sur des pages griffonnées, raturées, que mes mots (et mes maux) surgissaient avec encore beaucoup d’hésitation.

Nous étions au début des années quatre-vingt, et je venais de perdre mon père. Et c’est tout naturellement que je me réfugiai dans l’écriture. Ainsi, je lui écrivais fréquemment, imaginant que ce moyen d’expression était plus puissant que les pleurs ou les paroles, pour le faire exister encore.

Bien plus tard, jeune adulte, je rencontrai le monde de la musique. Le jazz, tout d’abord, puis l’afro-jazz. Je fus engagé par un groupe de musiciens (et amis) pour leur écrire des paroles. Et de l’afro-jazz à l’Afrique, il n’y avait qu’un pas ! Et ce pas fut franchi en 1989 au Burkina-Faso pour une “tournée” de quelques dates.

Ma rencontre avec l’Afrique fut un véritable choc. Je ne m’en suis jamais vraiment remis.

En parallèle, mes idées de textes, créations d’histoires, tout cela fusait dans mon esprit. La chanson ou le poème n’étaient plus le support adéquat pour développer tous ces mots qui rêvaient d’éclabousser sans rime, librement. Je me tournai donc vers la “nouvelle”. Un style littéraire que je découvris par hasard avec Maupassant. Par hasard est bien le mot. Car ce n’est pas à l’école que j’ai découvert la littérature. Ma scolarité s’étant arrêtée en cinquième…

Les nouvelles s’accumulaient au fond des tiroirs, et à force d’entendre mes proches me demandant si je “voulais en faire quelque chose”, je finis par envoyer quelques exemplaires dans des petites maisons d’édition. Surtout par curiosité. Pour bénéficier d’un avis de professionnel, d’un comité de lecture ou que sais-je encore. Et à ma grande surprise, les Éditions Sol’Air me publiaient en 1995. Certes, avec d’autres auteurs sur l’ouvrage, mais tout de même.

Je faisais là un pied de nez à une mère qui me disait “tu es nul, tu n’arriveras jamais à rien” et à des profs qui me disaient que me concernant, il valait mieux que je me tourne vers un métier manuel, tout ce qui était intellectuel n’étant pas pour moi. Ce que je fis. Les mains dans la farine. En grandissant, en faisant de belles rencontres, en coupant un cordon ombilical en partie toxique, je prenais peu à peu de l’assurance. Je découvrais en moi certaines capacités et surtout ce besoin de créer. Toujours.

 

Gagner ma vie

Je ne fis qu’un bref passage dans un fournil, dans une boulangerie à Ruaudin (72). Un patron violent, qui, démuni de cerveau, puisait sa seule force dans ses poings pour s’exprimer, me dégoutta peu à peu du pain. J’aurais survolé quelques métiers sans vraiment me fixer sur l’un d’entre eux… jusqu’à ce que je me trouve une voie dans le milieu médico-social.

Bien que sans aucune formation dans cette branche (ni dans une autre, d’ailleurs !) je jouis aujourd’hui d’une expérience d’une trentaine d’années dans ce domaine, avec différents publics. (Voir ici mon CV)

En parallèle, il m’aura fallu boucler des fins de mois difficiles. Je trouvais donc un petit boulot de pigiste, pour l’AFP. Travail que j’effectuais la nuit grâce à une connexion Internet. Nous étions en 1995, le réseau mondial n’en était qu’à ses balbutiements et même le mot “télétravailler” n’existait pas. On m’a également offert un peu de place, deux fois par mois, dans Ouest-France, pour poser ma plume, sur différents sujets. Outre un peu de monnaie, cette expérience m’apporta surtout un regard nouveau sur la presse, les médias, et plus généralement notre société. Et je trouvais dans l’Internet un formidable outil pour m’exprimer, écrire, créer.

Aujourd’hui, je continue mes travaux d’écriture avec des nouvelles, puis le commencement d’un roman au milieu de l’année 2019, avec Giuseppe Taglietti comme personnage principal. Jamais vraiment satisfait, j’écris dix pages et j’en efface neuf et demi. Je n’ai aucune idée de l’issue de cette petite aventure littéraire, mais peu importe. L’essentiel pour moi est d’écrire, d’imaginer, de rêver. Ce qui m’aide à mieux appréhender une société avec laquelle je me sens de moins en moins en adéquation.

 

Webmaster

J’ai découvert l’Internet, donc, en 1995 et très vite, je ne pouvais me contenter d’être uniquement “consommateur” du web, mais également acteur. Il faut dire qu’au préalable, je m’étais essayé à écrire quelques lignes de code pour le Minitel. C’était une autre époque. Bref.

Dès 1996, je me suis formé à différents langages de programmation et à tout ce qui pouvait toucher de près ou de loin à la création de site. Cela passait donc par le graphisme, la rédaction, le référencement, le marketing, la communication…Tout cela tout seul. En autodidacte. (Ici mon CV de webmaster)

Puis en 2010, après avoir créé plusieurs sites internet, je décidai de créer ma propre société. Castelweb, c’est le nom de celle-ci. J’ai eu la chance de créer des sites web de toutes sortes. Du site vitrine au site e-commerce en passant par un site d’annonces, et même un annuaire de 1001 Gites , sa version “Love Room” ou un site pour une activité de Gîte romantique à Châteaubriant. Mais outre la création elle-même, ce qui est plutôt technique, je prenais surtout la plus grande partie de mon plaisir à “réfléchir” à un projet web. M’approprier une demande un peu floue pour un client et, accompagnant un devis, un document de quelques dizaines de pages. Je ne le savais pas encore, mais cela porte un nom: un audit.

Ainsi, d’un projet un peu vague, j’en sortais un document papier dont tous les paramètres, toutes les fonctionnalités étaient réfléchis. Dès lors, il n’avait plus qu’à engager un webmaster. Moi de préférence.

Dans cette activité, je me suis intéressé à beaucoup de domaines. Car finalement, concevoir un site seul, sans aucune aide extérieure, demande pas mal de compétences. Ainsi, je me suis formé en ligne en référencement, à différents langages de programmation, au graphisme, au e-marketing. Et bien entendu, c’est avec une très grande importance que je place les mots au centre d’un site web. Et ça tombe bien: c’est aussi ce que demandent les moteurs de recherche en général et Google en particulier.

En 2012, je m’amusais à créer, pour mon propre compte, un site de petites annonces pour le continent africain. Afrique Annonces était né. Bien que N°1 pendant près de trois ans sur le continent sur ce marché, je fus dépassé par l’arrivée d’un concurrent. Peu importe. Ce site m’aura aussi permis de créer un lien quotidien avec l’Afrique et surtout les africains. C’est ainsi que parmi les quelques centaines de personnes que j’ai eues en ligne par email ou messagerie instantanée, j’y fis une très belle rencontre: Lionel DEHOUI.

Il racontera son histoire largement aussi bien que moi, mais voyant les motivations et le talent de ce jeune rédacteur et l’absence de moyens dont il disposait, je décidai de lui créer et offrir un site web: Rédacteur Web Bénin vit le jour début janvier 2019. Nous étions fin décembre 2018 et c’était un peu Noël pour lui. Début 2020, c’est une autre rencontre que je faisais. Un jeune béninois, tout aussi motivé, avait un beau projet. Mais pas d’argent. Là aussi, je me suis concerté avec moi-même pour lui offrir mon expertise en lui créant, sur ma proposition et un peu à sa demande, une plateforme de mise en relation de rédacteurs africains et d’entreprises européennes. Comme pour Lionel, j’ai tout pris en charge: la conception, le nom de domaine et l’hébergement du site. Mais cette relation se sera avérée décevante. Professionnellement et humainement. Je me retrouvai donc avec un site “sur les bras” qui, certes, m’intéressait dans sa thématique, mais je ne pouvais pas, d’un point de vue géographique, travailler quotidiennement avec des rédacteurs africains.

C’est donc tout naturellement que j’ai fait une proposition à Lionel. Bien que cette idée lui trottait dans la tête depuis un bon moment, j’aurais été le “coup de pied au cul” qui lui aura permis de créer sa société: Denel Writing est né en septembre 2020. Et c’est tout naturellement aussi, que s’est jointe à nous Émeline, sa compagne au bureau comme à la ville.

Tous les trois, nous travaillons quotidiennement sur ce site, ainsi que d’autres, Rédacteur Web Freelance qui est une plateforme de mise en relation de rédacteurs et d’entreprises, contrairement à Rédacteur Web Afrique où seuls, trois rédacteurs répondent aux commandes de notre clientèle. Annuaire Freelance, le quasi clone de Jobbing Afrique Annonces mais pour l’Europe… Sur ces sites, chacun y a ses compétences, son expérience. Mais une seule nous lie réellement: la rédaction, l’amour du verbe et du travail bien fait.

Si je peux les dépanner dans la rédaction, les conseiller en SEO et maintenir les sites à jour, je reste également à la disposition de notre clientèle pour la création de site internet, de référencement, d’audit, et de toute expertise technique.

Et bientôt, d’autres sites viendront s’ajouter à Denel Writing, notre Agence de communication à Cotonou.

Quelques mois plus tard, un nouveau site; un nouveau projet. Travaillant chaque jour avec des rédacteurs en Afrique en particulier et des freelances en général, nous avons constaté que le frein principal au développement de l’économie numérique en Afrique, c’est le paiement. Ou plutôt, la difficulté de payer en ligne, mais aussi et surtout de se faire payer. Récupérer l’argent de son compte Paypal en Afrique est quasi impossible. Après des mois de réflexion, j’ai pu mettre en place un site de mise en relation entre des freelances en Afrique et des personnes de la diaspora africaine en Europe pour faciliter les transactions financières. DenelPay est né de cette réflexion en janvier 2022.

Et, en juillet 2022, un nouveau site, un vrai service dans le petit monde de la rédaction web: Article Invité: une plateforme dédiée aux rédacteurs, leur permettant, entre autre, de se faire connaitre et de vendre leurs articles sur une plateforme e-commerce dédiée.

Conclusion

Nous travaillons tous les trois à 7000 kms de distance. Mais les choses se font simplement, aussi facilement que si nous étions dans le même bureau. Mais nous ne nous sommes jamais vus. Nous ne partageons pas le même bureau, la même théière. Et cette passion-là, nous la mettons à votre service, pour votre bénéfice.

Petite touche personnelle

Quelle que soit votre scolarité, quels que soient les mots qui vous auront touchés, blessés dans votre enfance, vous devez croire en vous. Et nul besoin d’un bac+4 ou d’un master pour “jouer dans la cour des grands”. Un autodidacte sera tout aussi compétent qu’un diplômé.

Crois en toi.

Christophe GRÉGOIRE (Cristof)

24 septembre 2020