Comment structurer un article de contenu

Comment structurer un article de contenu

Structurer un texte fait appel à des règles bien précises si l’on veut bien positionner son article sur les moteurs. Dans ce petit tuto, nous allons voir de quelle façon tout bon rédacteur web (ou rédacteur SEO) qui se respecte doit structurer un article de blog. En effet, la rédaction d’un article doit répondre à des règles incontournables pour être le plus agréable possible à la lecture. Mais ces règles pour structurer un article de contenu sont également très appréciées des moteurs de recherche afin de mieux comprendre l’article, et donc, mieux le positionner dans les résultats de recherche.

STRUCTURE D’UN ARTICLE DE BLOG

Les balises H1, H2, H3, H4, H5 et H6

Les balises titres, ou balises Hn (heading en anglais) sont créées pour hiérarchiser les contenus sur une page web. Ces balises Hn vont de H1 à H6. Elles sont donc utilisées pendant la rédaction de contenu sur une page web, un article de blog etc. Sans vouloir parler de codes barbares pour la plupart d’entre nous, par exemple, ces balises correspondent donc aux noms donnés au Titre de page (H1), groupe de paragraphes (H2), titre de paragraphe (H3) etc… En SEO, leur importance est pour ainsi dire capitale puisque ces balises Hn envoient des indications aux moteurs de recherche sur la structure de la page et de la qualité rédactionnelle.

Récapitulatif des bonnes pratiques à toujours appliquer pendant la rédaction de votre contenu :

H1 – Titre 1

La balise H1, appelée également Titre 1, est une courte phrase de 3 à 10 mots qui reprend la meta Title de la page. Mais la reprendre ne veut pas dire la copier à l’identique !  Par exemple, la Meta title de cet article est “Comment structurer un article de contenu” tandis que le Titre 1 (ou H1) est “Structure d’un article de blog“.

Il ne peut y en avoir qu’un seul H1 par page.

Le principe est finalement assez simple: il faut conserver le mot-clé principal et favoriser les synonymes pour les autres mots. Aussi, de préférence, favorisez autant que possible les phrases qui comportent un minimum de 8 à 10 mots. Dans ce titre H1, évitez également les points d’exclamation, interrogation etc…

H2 – Titre 2

La balise H2, ou Titre sont des titre d’un niveau inférieur; ce que j’appelle un “titre de paragraphe”. Les balises H2 servent donc à structurer votre texte, à distinguer les paragraphes et plus globalement à aérer le texte.

Ces titres H2 ne sont pas là que pour plaire aux moteurs et notre œil. Ils servent à apporter leur lot d’utilité et de cohérence au contenu de l’article. Il est primordial à ce que ce titre H2 soit précis. De préférence, ne pas dépasser une longueur de 8 à 10 mots maximum.

Aussi, la balise H2 ne doit pas être unique dans le contenu. Puisqu’elle permet de donner un titre à un paragraphe, cela sous-entend qu’il y a plusieurs paragraphes. Donc plusieurs titres H2. La présence d’une seule balise H2 nécessite l’insertion d’une seconde au minimum.

H3 – Titre 3 (et au-delà)

La balise H3, ou Titre 3, sert à structurer les paragraphes avec des sous-titres, à l’intérieur même du paragraphe. Une balise H3 ne peut pas, par exemple, se trouver juste au-dessous d’une balise H1 ou toute seule entre deux H2. Même si vous trouvez plus élégant, d’un point de vue purement visuel, de mettre un sous-titre en H3 tout en haut de votre page, c’est totalement à exclure: cela donne de mauvaises indications au moteurs de recherche. Et si le moteur ne comprend pas la structure de la page, il va privilégier une autre page, d’un autre site web, qui sera mieux structurée. Donc tout Titre 3 ne peut être indépendant.

Concernant sa longueur, les règles sont similaires à la balise H2: une longueur de 8 à 10 mots maximums. Et tout comme le Titre 2, il ne peut pas y avoir un seul Titre 3. Si vous faites le choix d’insérer une alise H3, vous devez obligatoirement en insérer au minimum une autre.

Chacune de ces balises H3 doit avoir un intérêt pour le contenu de l’article. Elle peut servir, par exemple, à apporter plusieurs exemple dans le développement d’un sujet.

Toutes ces règles applicables à la balise H3 le sont également aux balises H4, H5 et H6. Là, vous comprendrez par exemple que si vous insérez une balise H6, elle ne doit pas être seule et elle doit se positionner au-dessous d’une balise H5. Pour vous aider à visualiser l’insertion des différentes balises, voici ce que vous pouvez faire en images, et ce qu’il faut éviter :

Listes verticales: à puces ou numérotées

Les listes verticales (liste à puces ou liste numérotée) sont un bon moyen pour transmettre certains exemples, certaines informations ou argumentations.  Le lecteur scanne visuellement l’article plutôt que de le lire au premier abord. Ils attendent d’un article qu’il ait une présentation graphique.

Voici,  à mon sens, quelques avantages des listes verticales:

  • Elles favorisent une lecture facile,
  • Attirent l’œil des lecteurs,
  • Elles apportent une idée d’unification entre les points,
  • Communiquent des idées de façon graphique, donc plus rapidement.

Les listes numérotées sont utilisées lorsque l’ordre des éléments est important. Si l’information ne serait plus comprise si les éléments de la liste numérotées étaient placés seraient placés dans un ordre différent. Par exemple, une liste alphabétique ou une recette de cuisine.

Les listes à puces peuvent être utilisées lorsque l’ordre des éléments n’a pas d’importance. Une liste à puces doit être introduite par deux points. On met une minuscule au début de chaque partie et point final à la fin de l’énumération.

Pour résumer : une liste verticale aide simplement à se repérer dans le texte pour en faciliter la lecture. Les règles de grammaire, d’orthographe et de syntaxe sont les mêmes que dans le reste de l’article.

Mots en caractère gras :

  • Objectif du mot en gras:

Les mots en gras facilitent la lecture d’un texte. Ils permettent une lecture en diagonale de l’article sur la page web. Le caractère gras d’un mot permet de donner rapidement un point de vue sur le sujet traité dans le paragraphe et plus généralement dans le contenu du texte.

  • Quantité et mise en forme :

Attention à ne pas abuser des caractères gras. Plus vous en mettez, moins ils ressortent, forcément ! Entre 2 et 4% des mots en caractère gras peut être envisagé. Des outils comme Yoast SEO (sous WordPress) permettent de calculer le nombre de caractères gras dans le contenu. En pratique, il faut éviter de surligner :

  1. des phrases complètes, mais choisir uniquement une expression-clé ou des mots-clé ;
  2. certains mots de liaison ou superflus comme (la, le, du etc.). Mais là encore, là où il y a une règle, il y a forcément des exceptions ! Si vous dites par exemple “j’aime tous les animaux sauf les insectes et les arachnides“, il conviendra alors d’insérer dans votre expression en caractère gras des mots a priori superflus comme “sauf les” et “et les”.
  3. des mots discordants. On peut choisir deux ou plusieurs mots accolés. Dans un tel cas, s’il y a des mots de liaison, on peut les surligner (ex : chat dans la gorge).
  • Éviter de mettre en gras les signes de ponctuation :

Les signes de ponctuation et les mots en gras. Ne pas mettre en gras les signes de ponctuation à la fin d’une expression.

Balises Meta

Des balises Meta peuvent être demandées par votre client lors d’une commande. Les balises méta permettent une meilleure indexation de l’article par les moteurs de recherche. Il est donc nécessaire d’y apporter une certaine importance lorsque ces fameuses balises méta sont demandées:

Meta Title

La balise meta Title est une reformulation du titre H1. C’est elle qui donne le nom de la page et, sous WordPress par exemple, c’est à partir de celle-ci que l’URL est créée automatiquement. La longueur de cette balise méta ne doit pas dépasser 60 caractère. Un espace étant pris pour un caractère. Pour un meta title efficace, il est important de veiller à :

  • toujours placer le mot clé de la page au début de la meta Title ;
  • rester précisément dans le sujet principal de la page ;
  • rédiger une phrase ayant un sens. Une accumulation de mots clés sera puni par les moteur.

Meta Description

Que ce soit pour un article de contenu ou un communiqué de presse, la meta description est également de toute importance. Celle-ci doit résumer le contenu de la page le plus clairement possible. La Méta Description doit être constituée d’une ou deux phrases parfaitement claires et concises. De préférence, insérez-y également le mot-clé principal, ou l’expression-clé. Côté taille, la méta description ne doit pas dépasser 160 caractères espaces compris. De manière générale, il faut éviter :

  1. les chiffres, les caractères spéciaux et les mots en lettre capitale ;
  2. une succession de mots-clé.

La ponctuation ne doit pas non plus être négligée, les virgules et le point final y ont leur importance, puisqu’il s’agit d’une phrase, digne de ce nom!

Outils d’aide pour structurer un article

En cherchant sur les moteurs de recherche, vous trouverez tout un tas d’outils et de conseils pour vous aider à structurer un article de contenu et toute forme de texte. Pour ma part, travaillant sous WordPress, j’utilise Yoast SEO dans sa version gratuite. Bien que je connaisse ces règles de base, il est facile malgré tout de glisser une erreur dans la structure du texte, ou dans la typographie par exemple et au final de me faire punir par Google juste pour un oubli ou une négligence.

Sous WordPress également, un autre outil que j’utilise et qui m’aide à structurer un article d’une part, mais également à créer un index de l’article visible à la fois par le lecteur et le moteur de recherche: l’excellent plugin Easy Table of Contents. Ce plugin, vous en voyez son résultat tout en haut de cet article; c’est lui qui crée l’index à partir, justement, des balises Hn que vous aurez créées si vous suivez bien ce tuto.

En tout état de cause, il reste préférable, puisque vous êtes rédacteur web, de rédiger votre texte directement en ligne plutôt que sur votre logiciel de traitement de texte comme Libreoffice ou Word. En effet, de toutes les façons, il faudra reprendre l’intégralité des balises Hn au moment de l’insertion du texte dans le back-office du site.

Comment payer un rédacteur en Afrique

Comment payer un rédacteur en Afrique

Vous êtes une agence de communication en Europe, gestionnaire de blog ou d’un site e-commerce. Vous avez fait appel aux services d’un rédacteur en Afrique et vous vous questionnez sur la façon de le payer. C’est très simple. Je vous parle de mon expérience et je vous explique tout, point par point.

La rédaction web est l’écriture de contenus ciblés dans un but publicitaire afin de faire connaître une entreprise, un service ou un produit aux internautes. Si pour certains, il s’agit juste d’un moyen secondaire de se faire de l’argent, pour d’autres, la rédaction est avant tout un emploi. Les africains font partie de ce dernier lot. Cependant, comme dans tout type de travail, la rémunération est l’une des motivations capitales. Quels sont alors les canaux de paiement d’un rédacteur en Afrique ? Je vous explique tout dans cet article.

QUELLE SOLUTION POUR PAYER UN RÉDACTEUR AFRICAIN ?

 

Mais avant tout: pourquoi faire appel à un rédacteur en Afrique ?

Professionnalisme des rédacteurs africains

Comme partout ailleurs, les rédacteurs africains sont, en grande majorité, en grande majorité, d’excellents professionnels. Pendant que d’autres, gribouillent, raturent, ou essaient tant bien que mal d’aligner quelques phrases sans trop de fautes ou en sachant structurer un texte. Mais nous ne parlerons pas de ceux-là. Nous parlons ici des rédacteurs web. Les vrais.

Mais être rédacteur web en Afrique, ce n’est pas toujours une passion, un passe-temps. Cela est une nécessité pour de nombreuses personnes. De ce fait, les règles qui régissent le métier de rédacteur web sont très encadrées, comme dans tous métiers. Il s’agit notamment de fournir des informations fiables, éliminer les maladresses, les erreurs de syntaxe, les fautes d’orthographe, de conjugaison et de grammaire. Ou tout simplement des erreurs de langage. À celles-ci, il faut ajouter l’exclusion du plagiat des contenus. Le rédacteur web africain sera également respectueux de son client et de l’entreprise, la société qu’il représente le temps d’un article.
Pour ce faire, il existe pléthore d’outils et sites pour vérifier les contenus avant de les envoyer aux correcteurs le cas échéant, puis en finalité, à son client. En outils de référence contre le plagiat, le rédacteur web africain utilisera des plateformes comme 1text.com et duplichecker. Pour les corrections orthographique et grammaticale, des outils tels que languagetool et Antidote font très bien leur travail! Bien conscients d’une grande concurrence, parfois même déloyale, les rédacteurs africains font tout leur possible pour être meilleurs que leurs collègues. Il en va parfois de leur survie ! Ils ont parfaitement conscience que de la qualité de leur travail dépendra la fidélisation d’un client…

Compétitivité

Comme notifié un peu plus haut, la rédaction web est est une profession à part entière. En Afrique comme partout ailleurs. De ce fait, plusieurs entreprises ont même été créées afin de recruter du personnel pour travailler dans ce domaine. La bonne marche de ces agences dépend de la qualité de leurs rédactions. Pour maintenir leurs contrats et en trouver d’autres, il est important pour les responsables d’entreprises d’exiger le maximum d’effort de leur équipe de rédacteurs.

Il va de soi que la qualité rédactionnelle va de soi avec le montant de la prestation. Un client ne pourra se contenter de payer un rédacteur quelques Euros pour un article de 2000 mots et en même temps demander un article de grande qualité. Comme dans toute prestation ou création de l’esprit, le client devra payer un rédacteur à la juste valeur de sont article rendu en temps et en heure.

Aussi, au-delà des rédacteurs eux-même, la compétitivité découle également des agences de rédaction entre elles. Et elles sont nombreuses ! On en trouve énormément au Bénin, comme Denel Writing, mais également à Madagascar où les agences de rédaction web se battent pour décrocher le plus de contrats possible ! Cet esprit de compétition pousse les uns et les autres à s’améliorer chaque jour un peu plus et à être productif.

Choix du Rédacteur

Le nombre de rédacteurs existants en Afrique est pléthorique, tous niveaux de rédaction confondus. Entre les rédacteurs débutants et les rédacteurs web au niveau incontestable, le client, agence de communication, de référencement ou simple site e-commerce, aura le choix selon ses objectifs et ses moyens. En général, le niveau d’exigence des clients est proportionnel au tarif proposé, comme expliqué plus haut. Ainsi, le client devra “mettre la main à la poche” s’il veut un niveau rédactionnel irréprochable. Bien l’on peut faire confiance au débutant pour s’améliorer dans un avenir plus ou moins proche, le client a ses propres exigences, parfois même dans les 24 heures. Pas le temps de négocier entre qualité et tarif ! En vrai professionnel, le client, bien qu’il puisse avoir une limite dans son budget, il sait pertinemment que l’article qu’il commande au rédacteur est un investissement sur l’avenir. Quand d’autres clients, moins exigeants, seront moins regardants sur la qualité, le plus souvent par méconnaissance du fonctionnement de l’Internet et des règles qui le régissent.

Cette différence de niveau explique la diversité de rédacteurs web en Afrique. Aussi, les rédacteurs en Afrique opterons souvent pour de simples formations qui permettront de leur apporter les bases de la rédaction. Cela leur permettra de commencer à rédiger pour leurs premiers clients. Avec un peu d’expérience, leur niveau devrait s’élever assez rapidement. Cette diversité là offre donc tout un panel de rédacteurs africains qui pourront obtenir des contrats avec toutes sortes de clients, la plupart du temps en Europe.

Quel est le prix d’un article rédigé par un rédacteur africain ?

Il est de notoriété publique que les rédacteurs africains sont sous-payés. Tout du moins en comparaison des rédacteurs en France ou ailleurs en Europe. J’ai d’ailleurs écrit un article sur cet esclavagisme 2.0. Pour certains rédacteurs, accepter des tarifs ridiculement bas, est parfois une question de survie. Et les clients en France le savent bien. La plupart du temps, il s’agit d’une technique pour décrocher les premiers contrats. Mais il suffira que le rédacteur web fasse preuve d’un grand professionnalisme pour fidéliser sa clientèle. Il n’aura alors plus besoin de se vendre pour travailler…

Tarif au mot:

En réalité, la prestation d’un rédacteur n’est pas toujours en rapport avec la qualité de son travail. Bien des contextes peuvent faire varier les tarifs ! La plupart du temps, les tarifs de rédaction proposés aux africains sont évalués “au mot”. Le prix moyen d’un mot est 3 à 4 FCFA (0,0045 à 0,006 € le mot !). Le tarif peut atteindre jusqu’à environ 10f/mot (0,015€) pour certains contrats. Généralement, dans ce dernier cas, les exigences sont élevées pour mériter ce tarif. Pour information, 0,015€ le mot est équivalent à 15€ pour un article de 1000 mots. Nous sommes donc très loin du prix d’une prestation d’un rédacteur en France.

Connaître son sujet pour mieux en parler

En effet, écrire un article optimisé SEO de 1000 mots, ce n’est pas simplement “écrire des phrases bout à bout”. Avant même de commencer à rédiger, le rédacteur va devoir s’imprégner de son sujet. Si c’est un sujet qu’il maîtrise bien, cela devrait être assez rapide: deux bonnes heures avec un peu d’entraînement. Mais si c’est un sujet qu’il ne connaît pas, il va devoir se renseigner, lire de nombreux articles sur un sujet donné. Ensuite, et seulement ensuite, il pourra commencer à rédiger. Il n’est pas rare, dans ce cas, de travailler 6 à 8 heures pour un article assez complexe de 1000 mots. Au vu du temps passé, il est aisé de comprendre qu’on ne peut payer un rédacteur seulement 3 FCFA le mot, c’est à dire 4,57€ pour 8 heures de travail.

Pour information, un nombre considérable de ces “plateformes de rédacteurs web” en France et partout ailleurs en Europe, ou simplement des rédacteurs français sous-traitent avec des rédacteurs africains afin d’augmenter leurs bénéfices. D’autres plateformes sont par ailleurs largement contestables car elle paient 3 FCFA les 100 mots, c’est à dire 0,04€ pour un article de 1000 mots (oui, vous avez bien lu: et j’en détiens les preuves!!!), qu’ils revendent ensuite, sans complexe, jusqu’à 50€ à leur client. J’ai écrit ici un article sur l’une de ces plateformes qui exploitent allègrement les rédacteurs comme d’autres le faisaient pour cultiver les canes à sucres dans un passé peu glorieux… Dans ce cas-là, on imagine fort que les bénéfices sont absolument considérables !

MÉTHODES DE PAIEMENT POUR PAYER UN RÉDACTEUR AFRICAIN

Paypal en Afrique

 PayPal est le moyen de paiement le plus populaire sur Internet, tous pays confondus. Il doit cette particularité à la sécurité des transactions dont il a toujours fait preuve. Paypal ne permet pas l’utilisation directe de carte bancaire, ce qui est un gage de sécurité et de confiance.

Avantages de Paypal:
  • Paiement instantané
  • Pas besoin de carte bancaire pour effectuer un paiement en ligne
  • Sécurité irréprochable
  • Service de résolution des litiges au top
Inconvénients de Paypal pour les africains:
  • Aucune possibilité de lier une carte bleue
  • Lier un compte bancaire impossible
  • Effectuer un paiement en ligne, sauf de compte Paypal à un autre compte Paypal impossible
  • Impossibilité de retirer l’argent stocké sur le compte Paypal.

Paypal est une garantie de sécurité pour les freelance en général. Les rédacteurs (hors Afrique) peuvent donc privilégier ce moyen de paiement, gage de sécurité et de sérieux. Payer un freelance par Paypal, ou effectuer tout type de paiement, d’achat, est en effet instantané. Aussi, le rédacteur a la possibilité de transférer son argent du compte PayPal vers son compte bancaire. Ça, c’est dans l’idéal. Car en pratique, sur le continent africain, Paypal fonctionne seulement partiellement, comme l’explique DenelPay.  En effet, faute d’accords avec les banques africaines, il n’est pas possible de lier un compte bancaire, ni même une carte bancaire, avec son compte Paypal quand on réside en Afrique. Les africains se retrouvent donc avec parfois des sommes assez conséquentes sur leur compte Paypal, mais ils ne peuvent absolument pas récupérer cet argent ! Payer un rédacteur en Afrique avec Paypal n’est donc vraiment pas la solution a privilégier.

Virement bancaire

Le virement bancaire est un système de transfert d’argent très courant, utilisé par de nombreuses personnes et entreprises. Le virement bancaire a la réputation d’être sécurisé, assez rapide et est très pratique. Payer un rédacteur en Afrique par virement bancaire est donc assez facile. Aujourd’hui, toutes les banques proposent une application à installer sur son smartphone pour suivre son compte bancaire en direct et effectuer des virements de compte à compte.  Il faut cependant être attentif aux frais bancaires au moment d’un virement. En effet, si le virement international (non SEPA) est un moyen de paiement sécurisé permettant de transférer des fonds vers un autre compte, il est prudent d’y regarder de très près. Un virement international peut être effectué dans une devise étrangère mais des tarifs liés à chaque virement peuvent s’appliquer en plus de la somme à envoyer et si la devise diffère de l’euro. Un taux de change est donc àjouté pour payer un rédacteur web en Afrique.

Payer un rédacteur en Afrique avec Xoom

 Xoom est un service de Paypal. Peu connu, fonctionnant sur un autre site web que la maison mère, mais il s’agit bel et bien d’un service de Paypal, site de transfert d’argent dont la fiabilité et la sécurité n’ont plus rien à prouver. Xoom de lui une plateforme de choix pour les rédacteurs en Afrique pour être payés. Rapidité des transferts, disponibilité du service clientèle sont autant d’avantages rassurants. Avec Xoom, vous pouvez effectuer vos transferts avec un compte bancaire, une carte de crédit et surtout depuis votre compte Paypal! Cela permet à un possesseur de compte Paypal d’effectuer un transfert sur Xoom en utilisant le solde de son compte Paypal, ce qui est idéal. Avec Xooml, pas besoin de sortir votre carte bancaire pour effectuer un paiement. Votre compte Paypal est directement reconnu par Xoom pour vous y connecter. Xoom est disponible aussi comme application sur Android ou iPhone. Payer un rédacteur en Afrique avec Xoom se fait donc directement depuis son compte Paypal. Le rédacteur en Afrique, de son côté, pourra retirer cet argent sur son compte bancaire ou en Agence de retrait. Dans ce dernier cas, muni de sa carte d’identité, il pourra présenter le Numéro de Transaction Xoom auprès de sa banque, ou toute autre point de retrait d’argent pour récupérer ses espèces.

Avantages de XOOM pour un freelance en Afrique:
  • Paiement directement depuis son compte Paypal
  • Pas d’inscription au préalable sur Xoom
  • Rapidité du transfert
  • Sécurité du transfert
  • L’argent est envoyé dans la devise de l’envoyeur et reçu dans la devise du bénéficiaire
  • Pas besoin de posséder un compte bancaire pour retirer l’argent reçu
Inconvénients de Xoom pour payer un rédacteur en Afrique:
  • Trop peu connu en Europe, donc manque de confiance de la part des clients
  • Aucune possibilité de réception de l’argent en Mobile Money

Mobile Money

Mobile Money est LE système le plus courant en Afrique: ses avantages son multiples. Mobile Money, inconnu en Europe, est un système de paiement depuis un téléphone mobile vers un autre téléphone, tous deux disposant de sa propre application Mobile Money, ou “MoMo” pour les habitués. Les africains se servent de MoMo pour acheter leur pain, faire leurs courses au marché ou acheter une montre connectée à un marchand ambulant. Les systèmes bancaires n’étant pas toujours présents dans les zones reculées, Mobile Money est utilisé chaque jour par des millions de personnes en Afrique pour tous types de transactions. Avec Mobile Money, tout le monde peut transférer et recevoir de l’argent sans encombre avec les notifications instantanées. En second lieu, les transactions par mobile Money sont sécurisées et la corruption est quasi inexistante, ce qui est particulièrement notable pour la plupart des pays où les rédacteurs africains sont particulièrement représentés. A savoir le Bénin et Madagascar par exemple.

Mobile Money, comment ça marche exactement ?

C’est un service de paiement sécurisé qui est mis en place par les opérateurs téléphoniques locaux. Un peu comme si, en France, Orange, Bouygues et SFR proposaient leur propre système de paiement entre téléphones mobiles. Sur le continent africain, nous pouvons retrouver la présence de Orange, justement. Et Orange propose son système de paiement par mobile: Orange Money. Il en est de même pour MTN, Inwi ou Express Union pour ne citer que ceux-là.

Pourquoi les banques sont les grandes absentes de l’utilisation de l’argent

Les banques, parfois en manque d’effectif, voient les files d’attente s’allonger chaque jour. Aussi, la corruption même au guichet est fréquente. Grâce à Mobile Money, les rédacteurs peuvent retirer leur argent très simplement en se rapprochant d’un guichet de retrait, comme il en existe à chaque coin de rue. Depuis quelques années, Mobile Money s’étend au niveau mondial, bien que quasiment inconnu en Europe. Payer un rédacteur en Afrique en Mobile Money est certainement LA solution de paiement idéale, même depuis la France.

Voyons donc, plus bas, ces références mondiales pour effectuer des paiements en Mobile Money vers l’Afrique.

WorldRemit

WorldRemit est un service de paiement exclusivement en ligne dans 90 devises et la plupart des pays. Selon le pays vers lequel le paiement est destiné, le bénéficiaire peut recevoir son argent en Mobile Money, par virement bancaire (en fournissant son IBAN), en retrait d’espèces en agence locale de retrait ou en “compte prépayé” sur numéro de téléphone mobile.

Concernant le paiement par Mobile Money, la plupart des opérateurs mobiles locaux sont reconnus par WorldRemit.

Avantage de WorldRemit:
  • utilisation des services de WorldRemit sur PC ou appli Android / iPhone
  • Simplicité d’emploi presque enfantine
  • Rapidité d’envoi en Mobile Money: parfois en moins de 5 minutes !
  • Frais réduits pour des petites transactions (environ 3€)
Inconvénients de WorldRemit:
  • Limite d’envoi journalier
  • Aucune erreur n’est permise dans la transmission des informations d’identité du receveur: le retard de paiement ou l’annulation pourrait prendre plusieurs jours

 

Remitly

Un premier intérêt pour les rédacteurs d’opter pour Remitly pour récupérer leur paiement est son vaste réseau de partenaires bancaires locaux. Le canal de transaction d’argent Remitly est en association avec environ 150 000 banques. De ce fait, les rédacteurs africains ont plus d’options de récupération de leur salaire. C’est également un système entièrement numérique donc les rédacteurs sont exemptés des paiements de frais supplémentaires. L’inscription à ce service se fait simplement, en quelques minutes seulement. Remilty est partout en Europe, au Canada, au Royaume-Uni, en Australie ainsi qu’en Asie. Grâce à cela, les rédacteurs africains peuvent agrandir leur nombre de contrats en travaillant pour des clients un peu partout dans le monde.

Moneygram

L’un des canaux d’envoi d’argent à l’étranger est Moneygram. Il est passe-partout et les conditions sont abordables d’ailleurs. La société Moneygram possède environ 350 agences physiques en plus de ses services en ligne. Ainsi, il est possible aux rédacteurs en Afrique de percevoir leur argent selon l’endroit où ils se trouvent. Pour le rédacteur qui est amené à voyager par exemple, il peut recevoir ses fonds dans une des agences Moneygram sur son chemin. Le bénéficiaire peut retirer son argent en espèce ou sur son compte bancaire. Le service est rapide et sécurisé, une option rassurante pour les rédacteurs africains. Comme ses concurrents, les transferts d’argent se font en quelques minutes seulement, où que l’on se trouve dans le monde. Cependant, les tarifs de transfert ou de virement ne sont pas aussi abordables. Les coûts supplémentaires sont onéreux et la transparence des calculs n’est pas de mise.

Western Union

Western Union présente l’avantage d’être disponible partout dans le monde. C’est un point positif fort pour tous les freelances en Afrique. Le rédacteur africain peut ainsi percevoir son paiement directement du client sur son portefeuille mobile (Mobile Money). Western Union possède plus de 130 devises, ce qui facilite les transferts provenant de tous les pays. Comme les autres présentés plus haut, le client envoie l’argent sans sa propre devise et de l’autre côté, le bénéficiaire recevra son argent dans sa propre devise locale. Tout ceci sans frais de change. Là aussi, la rapidité est à l’honneur. Une fois les fonds déposés ou transférés aux rédacteurs, ceux-ci reçoivent instantanément un numéro MTCN qui leur permettra de retirer l’argent en agence de retrait. Cependant, Western Union a aussi quelques défauts dont les frais de transaction qui peuvent être très onéreux selon le pays. Ces frais supplémentaires varient très souvent. IIl est donc recommandé d’effectuer des simulations de transfert pour connaître précisément les frais d’envoi.

Malheureusement, Western Union est victime de son succès. Ce service de transaction d’argent vers l’Afrique ne bénéficie pas, a tors, d’une très bonne image en France. C’est d’ailleurs à La Poste près de chez soi que les bureaux Western Union sont représentés.

Appli Orange Money Europe

On ne le sait pas forcément, mais il est très simple d’envoyer de l’argent, à partir de n’importe quel pays en Europe, vers l’Afrique, en Mobile Money. Pour vous inscrire, vous aurez besoin de:

  • Votre numéro de mobile
  • Un justificatif d’identité
  • Carte d’identité européenne ou passeport ou titre de séjour ou un permis de conduire (nouveau format) en cours validité.
  • Une adresse email
  • Carte bancaire de type CB, VISA ou MASTERCARD et elle doit indiquer votre Nom/Prénom, émise par une banque Européenne

L’inscription est simple et rapide, cela prend moins de 5 mins avec l’application.

Les frais d’envoi sont extrêmement réduits: 1,99€ pour envoyer un montant inférieur à 100€ jusqu’à 2.99€ pour envoyer un montant de 101 à 800€. 800€ étant le montant maximum qui peut être envoyé par transaction.

Le principe est finalement assez simple. Pour pouvoir envoyer de l’argent à partir de la France vers le Bénin par exemple, il suffit (après inscription), de “recharger” son compte client. Le paiement se fait par carte bancaire. Vous indiquez le montant que vous souhaitez envoyer à votre rédacteur au bénin. Pour envoyer de l’argent cliquez sur « transfert » depuis l’application. Ensuite choisissez le pays d’envoi, le numéro de mobile « +229 » de votre bénéficiaire (indicatif téléphonique du Bénin), puis le montant que vous souhaitez envoyer. Votre destinataire recevra immédiatement l’argent sur son compte MTN Momo ! Tout simplement ! Si le rédacteur ne dispose pas de compte Mobile Money, il peut retirer en espèces dans l’un des 5 000 points de retrait MTN MOMO disponibles partout dans le pays.

CONCLUSION

Les rédacteurs africains sont une parfaite option pour les clients désireux obtenir un travail de qualité à des tarifs raisonnables. Ils ont la volonté de s’investir dans le travail pour s’améliorer quotidiennement afin de fournir des contenus de qualité attrayante. Pour payer un rédacteur en Afrique, de nombreux moyens de paiement existent mais tous possèdent leurs avantages et leurs inconvénients. Si Paypal est le moyen de paiement privilégié pour un client français, il est très loin d’être la solution idéale du côté de l’Afrique. Dans ma longue expérience de paiements vers l’Afrique, je privilégie le paiement par Mobile Money et plus particulièrement WorldRemit qui ne m’a jamais déçu.

De son côté, un client sérieux travaillera avec ses rédacteurs habituels. C’est au client de s’adapter pour le paiement des prestations vers ses rédacteurs, et pas l’inverse. Le client, lui, a de multiples choix depuis son PC ou son smartphone en Europe. C’est parfois juste pour son petit confort personnel que le client refuse de travailler autrement qu’avec Paypal. Mais Paypal est totalement inadapté pour l’Afrique en général et les rédacteurs africains en particulier. Localement, le rédacteur n’a pas d’autre choix que de s’adapter à ce qui existe autour de lui, sous peine d’avoir travaillé sans jamais pouvoir percevoir ses paiements. Cela ne fait qu’accroître la pauvreté.

Les talents en Afrique sont nombreux. Il est du devoir des clients européens de se mettre à la portée des rédacteurs en Afrique et de les payer dignement, avec une méthode de paiement acceptée par son rédacteur.

Je dédie cet article à Constant qui se reconnaîtra

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L’inscription sur Article Invité est gratuite et très simple. Rendez-vous sur cette page pour vous inscrire. Dans la version gratuite, pour les rédacteurs web, vous pouvez publier trois articles afin de vous faire connaître, de démontrer votre talent.

Écrire un article pour promouvoir un produit

Gagner de l’argent avec un article invité rémunéré, c’est finalement assez simple. Voici le principe: Le but est de gagner de l’argent grâce à des liens publicitaires de produits que vous aurez insérés dans le contenu de votre article. Par exemple, sur la page Montre Connectée Femme, l’auteur a inséré un lien pour chaque produit qu’il a choisi de promouvoir. Dès qu’un internaute clique sur le lien et achète le produit, il touche une commission sur la vente ! Et il est payé par Amazon dès que votre compte atteint la somme de 25€.

 Créer un compte Partenaire Amazon

Pour pouvoir gagner de l’argent avec un article, il est nécessaire de créer un compte Partenaire Amazon. Le Club Partenaires Amazon vous permet de gagner des rémunérations publicitaires. Il faut pour cela insérer des liens Amazon dans le contenu de votre article. Vous percevez une rémunération publicitaire chaque fois que vous redirigez des internautes vers Amazon et qu’ils font des achats depuis votre article.

Vous avez donc tout intérêt à écrire le maximum d’articles sur différents produits ! Par exemple, vous pouvez choisir de publier un article sur les aspirateurs-robots ou un article sur un comparatif entre des cafetières électriques ! Ainsi, vous pouvez évoquer telle ou telle autre référence de produit. Vous pouvez en vanter ses qualités afin de donner envie au lecteur d’acheter ce produit ! S’il clique sur votre lien et qu’il achète ce produit, c’est gagné pour vous !

Comment insérer des liens Amazon

Avec l’éditeur de texte que je mets à la disposition des rédacteurs, vous ne pourrez pas, directement, insérer les liens fournis par Amazon. Vous devrez me les envoyer par email. Par exemple, si vous voulez promouvoir une cafetière électrique, vous m’enverrez par mail ce contenu là:

<a target="_blank" href="https://www.amazon.fr/b?_encoding=UTF8&tag=articleinvite-21&linkCode=ur2&linkId=bba7145925ae4bb41f4f99e552f763cd&camp=1642&creative=6746&node=57696031">cafetière électrique</a>

Rien de plus simple, c’est effectivement quelques lignes de code, mais ce n’est pas vous qui allez écrire ce code ! Non, il est simplement généré automatiquement par Amazon dans votre espace Partenaire.

L’admin de Article Invité Rémunéré modifiera alors le contenu de votre article pour y insérer les bon liens au bon endroit. L’article sera alors publié sur le site.

Promouvoir son article

Afin de donner toutes les chances à votre article d’être vu, et avant même de le promouvoir sur les réseaux sociaux par exemple, il est important de le soigner. Et cela passe forcément par un article de qualité, de 1000 mots minimum, voire 1500 ou 2000 mots. Par exemple, vous pouvez créer une page spécifique pour un produit ou pour une catégorie de produits que vous souhaitez promouvoir. Mais la création d’un tel article impose également des règles comme par exemple la structure d’un texte pour un article.

  • Si je prends pour exemple la page “Choisir un sextoy” (page supprimée depuis car elle n’entre pas dans le cadre fixé par un partenaire publicitaire), Shrek, le rédacteur de cet article, a écrit un assez long article sur ces jouets sexuels. Il y a évoqué les différents produits et a généré un lien fourni par Amazon pour chacun d’entre eux. En fait, je suppose qu’il est parti d’une liste de produits qui se vendent bien et il en a créé un article. Cet article, outre le fait qu’il soit informatif, n’est qu’une excuse pour toucher les commissions d’affiliation de la vente de ces liens ! Vous pouvez donc parcourir le web ou simplement les catalogues papier que vous recevez dans votre boite aux lettres et regarder ce qui se vend bien, selon la saison par exemple. A ce propos, il est inutile de promouvoir des piscines gonflables au mois de décembre… Il faut vraiment soit choisir des produits de saison, soit des produits que se vendent toute l’année. Allez ensuite sur le site Amazon et relevez différents articles de ce que vous souhaitez promouvoir.
  • Si, par exemple, vous avez craqué pour votre dernière lecture de votre auteur préféré, vous pouvez tout à fait en écrire un article ! Vous allez, le temps d’un article, jouer le rôle du critique littéraire et en même temps promouvoir un livre. Le but, dans ce cas là, est effectivement de donner envie au lecteur de votre article de cliquer sur le lien pour que vous puissiez toucher une commission sur les ventes du livre !

Ces quelques exemples, ce sont de formidables moyens de proposer des articles invités rémunérés à vie !

Pour écrire un article rémunéré, il est important de suivre certaines étapes clés afin d’assurer que votre travail est de qualité et que vous êtes payé de manière juste. Voici quelques conseils à suivre :

  1. Trouvez un sujet qui vous passionne : il sera plus facile d’écrire sur un sujet qui vous intéresse et sur lequel vous avez de l’expertise ou de l’expérience. Cela vous permettra également de produire un travail de qualité et de crédibilité.
  2. Trouvez un éditeur ou une publication qui paie pour des articles : il existe de nombreuses publications en ligne et imprimées qui paient pour des articles de qualité. Faites des recherches pour trouver celles qui sont pertinentes pour votre sujet et qui paient bien.
  3. Proposez votre idée d’article : une fois que vous avez trouvé une publication qui vous intéresse, envoyez-leur une proposition d’article. Incluez un titre, un résumé de l’article et une estimation du temps que vous pensez que cela vous prendra. Assurez-vous de respecter les lignes directrices de la publication en termes de longueur et de style.
  4. Écrivez votre article : une fois que votre proposition a été acceptée, il est temps de mettre en œuvre votre idée. Assurez-vous de respecter les délais que vous avez fixés et de fournir un travail de qualité qui respecte les normes de la publication.
  5. Soumettez votre article : une fois que votre article est terminé, envoyez-le à l’éditeur ou à la publication selon les instructions qu’ils ont fournies. Assurez-vous de le soumettre dans le format demandé et de inclure toutes les informations requises, comme votre nom et votre biographie.
  6. Négociez votre tarif : avant de commencer à écrire, assurez-vous de négocier un tarif équitable pour votre travail. Assurez-vous de prendre en compte votre temps et votre expérience, ainsi que les tarifs courants pour ce type d’articles.

En suivant ces étapes, vous devriez être en mesure de produire un article rémunéré de qualité qui vous permettra de vous faire payer pour votre travail d’écriture. Bonne chance !

 

 

 

White Page: Avis

White Page: Avis

WHITE PAGE: RÉELLE OPPORTUNITÉ, ARNAQUE OU ESCLAVAGISME ?

White Page: mon avis argumenté sur cette plateforme de rédacteurs

White Page: présentation de cette plateforme pour les rédacteurs africains

Achat de backlink

White Page est une plateforme de rédaction créée en 2017 par Zakstan. Cette plateforme propose à ses clients de commander des articles de rédaction. White Page est un outil qui propose des services de rédaction pour les blogueurs, propriétaires de sites web et autres référenceurs. Selon Digitiz, White page regroupe une équipe de 170 rédacteurs professionnels. Ces rédacteurs sont donc chargés de rédiger du contenu à des clients qui en font la commande. À l’heure où j’écris ces lignes, White.Page se vente d’avoir rédigé 132500 articles pour 2197 clients et ce, par 976 rédacteurs formés et salariés.

White Page: les tarifs proposés:

 Les tarifs de rédaction de White.Page sont dans l’ordre des choses. A partir de 0.017€ le mot, jusqu’à 0.0225€ le mot dans sa version premium (ces tarifs sont hors taxe; il faudra donc ajouter 20% de taxe selon le taux en vigueur). Selon le site, “Nos tarifs débutent à partir de 2,30€ par 100 mots. La rédaction se fait via nos structures offshores. Nos rédacteurs étant régulièrement formés et travaillant dans nos bureaux, nous espérons que la qualité des écrits vous satisfera.”

Cela revient donc, pour le client, à payer 25,5€ un article de 1500 mots dans sa version basique et 33,75€ pour un article de la même taille en version premium. Nous sommes ici sur des tarifs extrêmement corrects pour la rédaction d’un article qui peut prendre au minimum 3 heures pour un rédacteur entraîné et qui ne maîtrise pas forcément le sujet. Car oui, maîtriser parfaitement le sujet sur lequel le rédacteur va travailler est finalement assez rare. Le client a toujours des impératifs, il impose son sujet et cela demandera toujours du travail de recherche au rédacteur pour argumenter son article de rédaction.

Qui sont les rédacteurs de White.Page ?

C’est peut-être là que le bât blesse. Dans le paragraphe précédent, il est stipulé deux choses qui à mon sens, sont contradictoires:

976 rédacteurs “formés et salariés”. Enregistrée en France à Berthen dans le 59, l’entreprise parle donc de 976 rédacteurs “formés et salariés”. Si le concept de formation peut être un peu vague, il en est tout autre du mot “salarié”. Selon les textes français, le salarié est une “Personne qui perçoit un salaire dans le cadre d’un contrat de travail.

Si nous en croyons donc cette entreprise, il s’agirait là assurément de la plus grosse agence de rédaction française avec ses 976 rédacteurs salariés et donc, sous contrat de travail.

Mais d’un autre côté, il est stipulé “La rédaction se fait via nos structures offshores.” Offshore, donc hors du territoire français ! Donc, en toute logique,  plus de contrat de travail ! Quant à “nos structures offshores”, je n’ai trouvé aucune “structure” White.Page ailleurs qu’à Berthen, dans le département du Nord (59).

S’inscrire sur White.Page: j’ai testé pour vous.

Afin d’argumenter cet article, j’ai testé (en juillet 2022) pour vous, l’inscription sur White.Page.

Comme sur tous les sites, on doit entrer quelques informations. Nom, prénom, adresse, adresse email, numéro de téléphone etc. Et là, un petit détail vient me frapper: dans le champ “numéro de téléphone”, l’indicatif téléphonique entré par défaut est “+229”; indicatif téléphonique du Bénin. Étonnant pour un site français hébergé en France ! Bien qu’en dessous de ce champ, on puisse choisir d’autres indicatifs téléphoniques (tous les pays y sont représentés), il est vraiment étonnant que le site s’adresse par défaut à un pays africain où les béninois sont très largement représentés parmi les rédacteurs francophones.

Il est également indiqué “Merci de renseigner vos noms et prénoms comme sur votre carte d’identité. En cas de réussite au test de recrutement, nos paiements se feront par virement bancaire, Xoom ou Western Union.” Il est tout à fait clair que là, le site s’adresse à des rédacteurs offshores uniquement. Xoom étant une filiale de Paypal qui permet d’envoyer de l’argent en Afrique pour les personnes qui ne disposent pas de compte Paypal. Et comme le dit DenelPay sur cette page, les rédacteurs africains peuvent posséder un compte Paypal mais ne peuvent pas récupérer l’argent qui s’y trouve. La solution, outre Western Union, consiste bien à payer des personnes qui ne disposent pas de compte Paypal: les africains.

Ensuite, il est indiqué qu’il faut prévoir un maximum de 3 heures pour “faire le test de recrutement”. Pour ma part, ça aura pris largement plus de trois heures. La cause ? De multiples bugs au moment de valider mon article de recrutement.

Dans ce test de recrutement, il y a quatre champs à remplir avec chacun un éditeur de texte. Il est précisé que chaque réponse doit comporter 350 mots minimum: au-dessous de ces 350 mots, impossible de valider le test.

Pour avoir testé à plusieurs reprises à cause du bug évoqué précédemment, parmi les quatre questions, une seule est aléatoire; la première. Dans l’image d’impression-écran plus haut, il s’agit donc d’écrire un article dont le sujet est ” Comment soigner un mal de gorge”. Ensuite, trois autres champs: “Comment considérez-vous le métier de rédacteur web”, “Avez-vous d’autres activités en parallèle de la rédaction” et “Qu’est-ce qui vous motive à rejoindre notre équipe”.

Après avoir répondu (en 2h40) aux quatre questions, je me retrouve face à un bug “Quelque chose s’est mal passé, merci de recommencer”. Je recommence. Deuxième essai: Si les trois derniers champs sont les mêmes, le premier change: un autre sujet d’article. Et une troisième fois. Et une quatrième à cause de ce bug qui se poursuit. (J’aurais été très patient !)

Enfin, au quatrième essai, mon inscription est validée. Mais j’ai le sentiment d’avoir écrit 16 articles de 400 mots avant d’avoir confirmation que mon inscription est prise en compte et qu’elle sera étudiée.

Je suis retenu comme rédacteur chez White Page !

Achat de backlink

Le 12 octobre, soit trois mois après avoir effectué ce test de recrutement, je reçois un mail stipulant que je suis retenu ! Dans ce mail il est indiqué: “Après analyse de votre test de recrutement, nous sommes heureux de vous annoncer que votre candidature a été retenue. Vous pouvez d’ores et déjà vous connecter à votre compte White.Page avec les identifiants que vous avez renseigné lors de votre inscription au test.
La rémunération sur White.Page est de 2,73 Fr CFA les 100 mots. Pour pouvoir percevoir votre salaire (paiement vers le 05 de chaque mois), veuillez renseigner vos coordonnées dans « Mon compte ». Un manager vous contactera pour vous faire parvenir les fonds.”

Étant français, et étant inscrit avec un numéro de téléphone français et avec une adresse postale française, je suis très étonné (désolé pour cette ironie) de recevoir des informations de paiement en Francs CFA et non pas en Euro !

Combien est payé un rédacteur chez White.Page ?

 Le “salaire” du rédacteur est extrêmement discutable: 2,73 frs les 100 mots !!! Soit 0,0273 fr CFA le mot, donc 0,041 € pour un article de 1000 mots ! Oui, je confirme, vous avez bien lu: un article de 1000 mots vous sera payé 0.041€ !!!

Afin de, encore une fois, apporter ma pierre à l’édifice pour la rédaction de cet article, je vais donc dans “mon compte” sur le site White Page. Sous mon nom, j’y vois donc “Tarif aux mots: 3 ” (sic).

Cela confirme donc… pas grand chose ! En effet, il est bien écrit “tarif aux mots”. Le nombre aurait-il été oublié ?

Mais en plusieurs endroits: dans “Mon compte”, et par mail il est bien question de “3 frs les 100 mots”.

White Page Avis.

White Page, dont vous trouverez le nom sur les mentions légales de leur site (par crainte de poursuites en diffamation, je préfère taire le nom du responsable de l’entreprise EURL Zakstan) est certainement une bonne adresse si on se place du côté client. Mais en tant que rédacteur, nous sommes là dans ce que je qualifie d’esclavagisme 2.0.

Ce monsieur, qui est également propriétaire de myback.link et Callitad (ce dernier qui n’a ni mentions légales, ni CGU, malgré les obligations de la Loi française) dispose là de réels outils pour se faire un maximum d’argent sur le dos de ces rédacteurs esclaves.

Et maintenant, que faire face à cet esclavagisme des temps modernes ?

Dénoncer: Seul, en tant que simple internaute passionné par la rédaction web, je ne suis pas armé pour déposer plainte. Et pas envie de me battre pour le bénéfice des autres: je n’ai rien à gagner là-dedans !

Rentrer dans le jeu de White Page: Inscrit en tant que rédacteur web chez White Page, je pourrais simplement me servir d’une faille. Sans être spécialiste du droit français, et considérant que je suis résidant français et que le site est hébergé en France, et en l’absence de cette précision dans les mentions légales, je ne peux QUE considérer que la devise utilisée par le site est l’Euro. Je pourrais donc tout à fait rédiger du contenu (puisque je le répète, je suis officiellement l’un de leurs rédacteurs) et attendre mon “salaire”. Y écrire plusieurs articles et, comme il est stipulé dans les CGU, attendre le 5 du mois pour être payé. Tout en conservant, bien entendu, toutes les preuves matérielles et numériques (copies-écran etc) de mes travaux de rédaction. Là, si je suis payé 3 Francs CFA le mot, je rappellerai que résidant en France, exerçant une activité de rédaction sur un site dont l’entreprise est française, c’est donc en Euro que je dois être payé. Et à 3 Euros le mots, ça peut vite être rentable pour moi. Et si, bien entendu, je ne suis pas payé 3€ le mot mais 2,73 frs les 100 mots, c’est à dire 0,041€ les 1000 mots, il y a là largement de quoi mettre le dossier dans les mains d’un avocat…

White Page: réelle opportunité pour les rédacteurs ou vraie arnaque ? J’ai testé pour vous cette plateforme de rédacteurs africains

Alors, White Page, une plateforme pour les rédacteurs africains. Est-ce une réelle opportunité pour les rédacteurs ou une vraie arnaque ? Je vous laisse juge. Mais j’ai bien mon avis sur la question…

Vos témoignages et avis sont les bienvenus !

Recherche rédacteur web

Recherche rédacteur web

Comment travailler sur Article Invité en tant que Rédacteur web ?

Combien de temps mettez-vous pour rédiger un article de 1000 mots?

Recherche rédacteur web  pour répondre à des commandes de clients. Telle est désormais la réponse à une question posée sur mon groupe Facebook le 22 septembre 2022 qui était “quelle est pour vous la durée de rédaction d’un article de 1000 mots?”

Une participation au-delà de mes attentes

 Vous avez été nombreux à répondre à ma question et je vous remercie. Différentes choses en sont ressorties, comme la ré-écriture d’article ou le sujet de la sous-traitance. On le sait bien: qui dit sous-traitance, dit qu’en bout de course, il y a un rédacteur largement sous-payé. Et entre le client et le rédacteur, quelques charognards se seront servi au passage… Et c’est là leur business. J’ai mon point de vue sur leur morale. Bref.
Maintenant, il faut garder en mémoire que si vous travaillez pour un client européen et que vous, rédacteur, êtes en Afrique, c’est tout bénéfice pour le client européen! Pour ne parler que de la France, que je connais bien car j’y habite depuis 53 ans, il faut savoir que le salaire net minimum légal est à l’heure où j’écris ces lignes, de 8,79€ de l’heure (11,07 brut), c’est à dire 5 766 XOF. Bien entendu, le coût de la vie n’est pas le même en Europe et en Afrique. 😉

Sachez toutefois que lorsque vous proposez de travailler, en tant que rédacteur, à moins de 10 FCFA le mot (fréquemment, certains proposent 3 Francs le mot) , vous êtes largement au-dessous du taux horaire et vous contribuez grandement à scier la branche sur laquelle vous êtes assis. Mais, je le répète, le coût de la vie n’est pas le même en France et en Afrique ; il faut savoir comparer ce qui est comparable.
Simple et rapide calcul pour un article qui vous aura pris 3 heures de travail.
8.79 (taux horaire net en France) X 3 (heures de travail) = 26.37€, soit environ 17 000 FCFA. C’est-à-dire 17 FCFA le mot. Voilà une prestation digne que vous devriez exiger de clients européens en général et français en particulier… si vous résidiez en France. Mais c’est surtout une prestation que devrait payer un client européen en faisant appel à un rédacteur, d’où qu’il vienne. Et s’il choisit un rédacteur résidant en Afrique, il a forcément ses raisons, qui rappellent l’histoire d’un autre siècle.

Dès lors, je vais jouer franc jeu avec vous.
Sur mon site, je vais donc proposer la commande d’article SEO et non-SEO. à 0.023€ / mot, soit un peu plus de 15 FCFA/mot. Un article de 1000 mots coûtera donc 23€ à un client. Je ferai appel à vous, rédacteurs.trices sur ce groupe. Je prendrai ma commission de 30% (due aux frais de gestion technique et commerciale du site) et vous serez payé en Mobile Money ou virements bancaires pour les rédacteurs en Afrique et par virement bancaire pour les rédacteurs en Europe.
J’informerai les rédacteurs intéressés pour exécuter ce travail de deux façons: sur le groupe Facebook et sur une liste de diffusion de rédacteurs volontaires (je reviendrai plus bas sur ce sujet). Je ne choisirai pas un rédacteur selon son tarif: inutile de me dire que pour vous, c’est 3f/mot. Je ne suis pas esclavagiste. Ce sera 70% de la commande, auquel je déduirai les frais de transaction en Mobile Money.
Par exemple, une commande de 1000 mots facturée au client 27€ vous rapportera 14,90€.
Voici mon calcul:
27 – 30% = 16.10 – 4€ de frais de transaction Mobile Money = 12.10, soit 7900 XOF environ
Les rédacteurs qui pourront répondre à cette commande seront préalablement inscrit sur ce site https://articleinvite.com.

Comment répondre à une commande ?

– Vous devez être inscrit sur mon site https://articleinvite.com
– Vous devez y avoir publié au moins 3 articles: 1 article où vous vous présentez, plus deux autres articles de 1000 mots minimum sur le thème de votre choix. (Je précise que ces articles-là sont des rédactions bénévoles qui ne sont là que pour démontrer votre talent de rédacteur !)
– Vous serez inscrit sur une liste de diffusion; c’est à partir des adresses mail de cette liste que j’enverrai mes commandes des clients. Le premier à répondre favorablement à cette commande emportera le marché par ordre d’arrivée sur ma boite mail.
– Vous écrivez l’article de la commande dans le respect du timing et vous me l’envoyez par mail
– J’envoie l’article au client
– je vous paie selon le mode de paiement que vous aurez choisi (Mobile Money ou Virement bancaire)

En attendant les commandes, je vous invite à vous présenter et démontrer votre talent en vous inscrivant sur mon site !

Vos commentaires en bas de cet article sont les bienvenus !

Nous recherchons des rédacteurs web

Recherche rédacteur web. Telle est la demande souvent formulée sur notre groupe Facebook. Nombreuses sont les sociétés de référencement, blogueurs ou propriétaires de sites web qui recherchent des rédacteurs web SEO. Bien que mon site Article Invité ne recherche pas directement des rédacteurs web pour rédiger des articles sur ce site, nous avons pour objectif de proposer à des potentiels clients de commander un article de contenu.

Le site est (très jeune), donc pas encore connu. Peu à peu, je l’espère, il s’installera sur les moteurs de recherche et il fera parti des références sur lesquelles des agences de référencement et/ou blogueurs pourront compter pour leurs commandes d’articles. Mais je compte aussi sur les rédacteurs du groupe Facebook pour promouvoir ce service sur la toile. (Je sais bien, il ce serait logique et parfaitement légitime, les rédacteurs préféreront garder pour eux-même leurs clients, quitte à ce que ces derniers profitent allègrement de la misère africaine. Mais en continuant à accepter d’être payé 3 francs le mot, les rédacteurs africains contribuent à leur misère). C’est donc ensemble, en disant “stop à l’esclavagisme 2.0” que les rédacteurs en Afrique pourront s’en sortir !

 

Je ne suis pas rédacteur. Et pourtant.

Je ne suis pas rédacteur. Et pourtant.

ÊTRE RÉDACTEUR WEB. UN MÉTIER.

N’est pas rédacteur qui veut.

Je suis administrateur du groupe Facebook Rédacteur Web Freelance, qui compte à ce jour (aout 2022) 10700 abonnés. Je suis également le fondateur du site ArticleInvite.com sur lequel vous lisez cet article. Et je suis créateur de quelques autres sites web auquel on peut ajouter le fait que je sois co-fondateur d’une agence de communication à Cotonou. Bref. Sur ce groupe Facebook, j’utilise un pseudo (Giuseppe Taglietti) alors que bon nombre d’entre mes plus vieux abonnés savent que je me nomme en réalité Christophe GREGOIRE. Je me présente d’ailleurs ici. Mais qui que je sois importe peu. Je suis là pour vous dire à quel point je me trouve exaspéré de tenir un “groupe de rédacteurs” et de constater qu’une très grande majorité ne méritent pas le terme de “Rédacteur”. En effet, il ne suffit pas d’être en capacité d’écrire quelques phrases (sans trop de fautes) pour s’autoproclamer rédacteur.

Comme je l’explique dans un précédent article où je dis comprendre parfaitement la situation dans laquelle se trouvent bon nombre de personnes, principalement en Afrique, et qui ont juste besoin de quelques Francs CFA, cela ne suffit pas pour proposer ses (in)compétences en rédaction web. En d’autres mots, ce n’est pas parce qu’hier soir, j’ai cuisiné une omelette pour ma famille et qu’a priori, personne n’a été malade, que ça fait de moi un cuisinier !

 Qu’est-ce qu’un rédacteur web ?

Je ne suis pas très bien placé pour dire “qu’est-ce qu’un rédacteur web”. Mais je sais toutefois qui n’est pas rédacteur web.

Il y a d’abord deux métiers. Rédacteur. Et rédacteur web. Un rédacteur, donc, spécialisé pour la rédaction d’articles pour le web. Car on n’écrit pas de la même façon un contenu où on va retranscrire, corriger, mettre au propre n’importe quel type de contenu, avec un contenu dont la destinée finale est pour le web. Car un rédacteur web doit absolument avoir des connaissances en SEO. Si même, le terme de SEO est pour vous un concept un peu vague, alors on peut vraiment considérer que vous ne pouvez pas vous qualifier de “rédacteur web“.

Devenir Rédacteur web : Qualités demandées

La qualité indiscutable pour pouvoir espérer devenir rédacteur web est sans conteste une dextérité pour écrire, une facilité d’écriture évidente. Avoir une bonne plume, un vocabulaire étendu, un style rédactionnel propre, un bon niveau en langue française. Autant de qualités indispensables pour captiver le lecteur et l’inciter à poursuivre sa lecture. Aussi, une certaine culture générale et une bonne connaissance du monde de l’internet sont indispensables.
Pour rédiger du contenu pour le web, un esprit de synthèse et une curiosité à différents sujets sont nécessaires. Rien ne doit rebuter le rédacteur web !

… et comme dans “rédacteur web”, il y a “web”, des compétences en SEO s’imposent !

Le SEO est un métier à part entière. Mais sans être un référenceur chevronné, quelques règles s’imposent. Règles que vous pourrez trouver dans cet article sur la rédaction de Communiqué de presse.

Comment répondre à un potentiel client ?

Derrière un rédacteur, une rédactrice, se cache une personne. Avec ses qualités, ses défauts, son éducation, sa façon d’être… Bref. Une personne.

Par exemple, sur Facebook:

Demande (d’un potentiel employeur)

Nous avons besoin de 30 freelances dans le domaine *de la rédaction et de la traduction* 3f le mot

Réponses de rédacteurs:

interesse
mp
inbox
info
Je vous est ecrit

N’y aurait-il pas là un gros problème dans les réponses ? Bien que les réseaux sociaux aient leurs propres “codes”, pensez-vous qu’avec ce type de réponse, l’employeur aura envie de répondre ? Analysons la première proposition:

interesse: Pas de majuscule, pas d’accent… Poubelle!
mp: bien que ce soit un “code” propre aux réseaux, moi, en tant que potentiel employeur, je dis: poubelle.
inbox: Idem. pas de majscule, anglicisme… poubelle
info: Pareil, toujours pas de majuscule, juste un pauvre mot qui ne veut pas dire grand chose. Quelle motivation !
Je vous est ecrit: légère amélioration quant à l’usage de la majuscule. Mais grosse faute quant à l’utilisation du verbe et pas d’accent sur le mot suivant.

Bref: ça ne donne pas envie !!! Voici une réponse qui serait plus apropriée. Ou du moins, qui vous fera passer au-dessus des autres:

“Bonjour. Je suis interessé par votre proposition. Voici un exemple de mes publications (lien à insérer). Je me tiens à votre disposition en privé pour répondre à vos interrogations. Toutefois, pour ce qui est du tarif proposé (3 Francs le mots), vous comprendrez vite que vous n’attirerez là que de bien piètres rédacteurs.”

Aujourd’hui, vu le nombre chaque jour croissant de sites web, il y a un gros gros besoin de rédacteurs. En effet, ces derniers sont nécessaires pour la visibilité d’un site internet. Sans contenu de qualité, les sites sont placés bien après les sites qui disposent de réel contenu. Et qui fait ce contenu ? Les rédacteurs biensûr ! Rédacteur: un métier d’avenir. A condition de prouver ses compétences.

Pour ma part, je ne me considère pas comme rédacteur web, bien que j’écrive chaque jour (ou presque) des articles sur mes différents sites. Je peux également, à la demande, écrire pour vous. Mais la qualité a un prix: je ne dérangerai pas ma souris pour moins de 40€ les 800 mots… À bon entendeur…

Alors, besoin d’un article ? Contactez-moi !

Vos commentaires sont les bienvenus !